1. |
Révèle le Virtuel
06:45
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Révèle le virtuel
Tu transgresses les étanches limites du réel
En donnant la liberté de rituel
Invoque-moi les fables d’antan
Raconte-moi, tout bonnement, comme un enfant, comme un enfant.
Plus que tout derrière l’ombre des choses
Au bout de la nuit derrière les portes closes
Le plan se déchire en mille fragments
L’avenir s’écrit dans le présent complètement dément, complètement dément.
Tu me révèles le monde du virtuel et toutes ses parcelles
Tu me révèles le monde du virtuel et les fractions de ciel
Tu transmutes les étranges frontières de l’éternel
Celles sur lesquelles s’inscrit notre table de lois
Lis-moi doucement les récits d’autrefois
J’y serai à jamais fidèle, à jamais fidèle, comme un enfant.
Apporte-toi à moi
Dans le cercle fermé de la volonté
Dans le feu sacré de la cruauté
Apporte-toi à moi
Tu me révèles le monde du virtuel et toutes ses parcelles
Tu me révèles le monde du virtuel et les fractions de ciel
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2. |
La Neige Fondera
03:23
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Mon cœur ne t’effondre pas
La neige elle fondera
La nuit elle apparaîtra
La verve elle implosera
Mon cœur ne t’en fait pas
La neige elle fondera
L’eau elle s’écoulera
Mon ange ne meure pas, ne t’envole pas
Toujours plus vers le bas
Et encore, on s’les gèle dehors
Et toujours, on en crève encore
Mon cœur tu m’appartiendras
Le feu nous consumera
La pluie nous éteindra
Le sol nous dévorera
Mon cœur ne pleure pas
La neige elle fondera
Je sais que ça passera
Je sais que ça ira
Toujours plus vers le bas
Et encore, on s’les gèle dehors
Et toujours, on en crève encore
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3. |
Tout Cours
04:47
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L’écho de la ville m’engage à me presser
Plus vite que j’aurais envie de marcher
Professant que le temps c’est de l’argent
Cesse de pleure toi l’innocent, cesse de pleurer mon enfant
Tout cours à sa perte
Tout veut que tu l’achètes
Ma tête m’appartient, mon corps m’appartient
Le bruit de la cité pousse à s’activer
Son aura noyé coule de ses rues pavées
Accordant de la valeur au plus petit royaume
N’accepte pas toi l’innocent, n’accepte pas mon enfant
Pour un instant écoute les voix qui chantent
Elles éveillent les forces dormantes
Qui jailliront du sol dès qu’arrivera l’été
Éteint la lumière et restons couché encore une heure ou deux
Éteint la lumière et restons couché encore trois heures ou quatre
Pour un moment dans sur les rythmes indiens
Ils évoquent l’esprit de cadavres anciens
Qui franchiront les cieux dès qu’arrivera l’été
Ne les laisse pas nous encercler
Ne les laisse pas nous arrêter
Ne les laisse pas nous enfermer
Ne les laisse pas nous ostraciser
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Infinite Moksha Montréal, Québec
INFINITE : « Si les portes de la perception étaient nettoyées les choses apparaitraient aux hommes comme elles le sont
vraiment. Infini. » –William Blake
MOKSHA : État de celui qui est sorti du cercle du Samsara, du cercle des Renaissances. État de celui qui est en constante recherche de lui-même.
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